La responsabilité contractuelle d’un Club d’escalade a été reconnue suite à la chute d’un grimpeur.

Les juges ont relevé que les connaissances de la victime n’avaient pas été évaluées et que l’activité s’était déroulée sans surveillance. Ils n’ont pas suivi le raisonnement du Club qui invoquait la pratique libre de l’escalade.

Le Club est tenue d’une obligation contractuelle de sécurité à l’égard de ses membres.